Divorcer à l’amiable en Suisse : la sim-pli-ci-té d’abord !

Que l’on ait été marié en Suisse ou ailleurs, qu’on ait la nationalité suisse ou non, il suffit de résider en Suisse pour pouvoir divorcer en Suisse « à l’amiable » suivant la règlementation helvète. Or tant les époux (que leurs enfants s’ils en ont), ont tout intérêt à adopter cette procédure suisse du « consentement mutuel ». Du reste les Suisses l’ont bien compris qui, lorsqu’ils divorcent aujourd’hui sont 90 % à le faire de cette façon.

Suisse : trois bonnes raisons de divorcer à l’amiable

Pourquoi tout le monde a intérêt à divorcer à l’amiable en Suisse ? Pour au moins trois raisons, toutes aussi valables les unes que les autres. Pour commencer, la procédure étant très encadrée ne laisse pas la place aux « règlements de comptes » psychologiques et affectifs. De ce fait, elle n’exige pas d’allers et retours incessants d’une partie à l’autre par avocats interposés et peut aboutir en un trimestre. Enfin elle est financièrement beaucoup moins coûteuse, d’autant qu’on peut même divorcer sans avocat, s’il le faut en se faisant aider par la plateforme Internet divorce.ch (https://divorce.ch/ ).

L’intérêt de l’enfant prime

Divorcer ainsi, vite, sans avocat et même en ligne est sans aucun doute la meilleure option pour protéger les enfants. Leur « sort » si l’on peut dire (qui va les garder, etc.) doit être établi par les époux et dans leur intérêt au sein de leur convention de divorce suisse. Si les parents ne parviennent pas à se mettre d’accord là-dessus, ils peuvent laisser le juge trancher ou passer par une médiation.